Ça sentait l’entourloupe ce truc. A peine arrivée dans le Cantal, PAP m’accueille et me glisse un plateau de saucisson/pâté sous le nez, l’oeil diabolique.
La nuit tombée, il m’attire à la fête au village (cf. Les Musclés) et me pousse irrémédiablement vers le stand « pavés de Salers/frites » puis tourne les talons vers l’estaminet afin de m’abreuver d’une bière fraîche. Heureusement, j’ai été suffisamment vigilante pour éviter qu’il verse un sachet de mayo dans mon assiette, le fourbe.